a précisé que cette part représentait environ 60% et qu'environ 40% du budget étaient consacrés au développement. Il a insisté sur le fait que de réels efforts de réforme avaient été engagés en vue d'accroître l'efficacité des interventions de l'ONUAA. L'objectif principal est de recentrer l'organisation sur ses missions d'expertise agricole et de soutien au développement rural.
Soulignant son attachement pour l'utilisation de la dénomination française de l'organisation et non de son acronyme anglais, M. Jacques Myard a estimé que la ratification de l'acte constitutif de l'ONUAA, après tant d'années, ne présentait guère d'intérêt : d'une part, l'existence de l'organisation fait l'objet d'un large consensus ; d'autre part, la Charte des Nations unies elle-même n'a pas été soumise à l'approbation du Parlement français.