Elles le devront en effet, puisque la sanction prévue est très dure – la dissolution de l'entreprise. C'est pourquoi j'avais été très surprise des réactions, notamment celle du MEDEF, à l'obligation faite aux entreprises françaises d'instaurer un quota de 20 % seulement de femmes au sein des conseils d'administration - un minimum, me semble-t-il.