a observé que pourtant beaucoup d'entre elles se dirigent vers les études de médecine, qui sont encore plus sélectives que les classes préparatoires. Comme l'explique bien Françoise Vouillot, c'est parce que la division du travail est sexuée que les métiers sont sexués et hiérarchisés et que l'orientation est sexuée. Après l'enseignement, c'est la médecine qui se dévalorise, et l'on y retrouve de plus en plus de femmes.