a ajouté que, si les filles sont plus nombreuses à obtenir le baccalauréat S et à décrocher des mentions, elles se dirigent ensuite plutôt vers la médecine, peu vers les écoles d'ingénieurs, deux fois moins que les garçons vers les classes préparatoires. Le poids de la société est ici considérable. Il faut dénoncer des thèses qui se réfèrent à une prétendue différence homme-femme pour expliquer les différences de choix d'orientation. Un article de Phosphore, disait aussi qu'en mathématiques, les garçons ont des éclairs de génie pour résoudre les problèmes alors qu'il faut tenir les filles par la main !