Vous avez indiqué, l'un et l'autre, mais en des termes un peu différents, qu'Israël n'avait pas de vision de long terme, hormis un impératif de sécurité nationale. Dans quelles directions l'État d'Israël pourrait-il s'engager à l'avenir ?
Vous avez évoqué, Monsieur Aubin de la Messuzière, l'évolution de la position française. Quel rôle l'Union pour la Méditerranée, créée à l'instigation du Président de la République, pourrait-elle jouer dans le conflit israélo-palestinien ? Je pense notamment à la Turquie, qui se tourne vers l'Union européenne, mais qui demeure à la recherche d'un positionnement international.