Les déléguées départementales risquent davantage que nous encore d'être peu visibles et voir leurs champs d'action réduits d'autant que les directions de la cohésion sociale auxquelles elles appartiendront auront en charge les populations vulnérables. Leur action risque d'être cantonnée aux violences faites aux femmes ou aux femmes en difficulté et perdre leur caractère transversal si on n'y prend pas garde.