Et qu'il n'y a pas de volonté politique de la reconnaître. Les missions et les moyens des déléguées n'ont pas évolué ces dernières années. On assiste à une détérioration de la prise en compte de la place des femmes, d'autant plus que, comme l'a fait remarquer Mme Catherine Coutelle, il n'y a pas de secrétaire d'État aux droits des femmes.