Je partage votre analyse sur le dynamisme de la présidence française au regard de la crise du Caucase. Il est vrai qu'une réaction unique constitue un levier très important de l'action, mais je suis frappé par l'absence d'évocation de la crise chypriote. Au moment où les deux communautés reprennent timidement le dialogue, faut-il constater l'incapacité de l'Europe sur ce point ?