Si les non-résidents se mettent à vouloir acheter des euros, cela correspond à ce qui se passe aujourd'hui, qui donne lieu à des mouvements de capitaux vers la zone euro. Mais l'émission de titres en euro auprès des non-résidents provoquera des flux en sens inverse, ce qui fera baisser l'euro. Je propose un choc symétrique à celui que nous venons de subir, qui tient à l'augmentation de la demande d'euros par des non-résidents.
Le Président Didier Migaud : Il faudrait agir massivement, pour éviter la hausse des cours.