a ajouté que les élus locaux ont désormais conscience du fait qu'une étape d'exploitation industrielle succéderait, en cas d'accord, à l'étape de recherche scientifique; ce qui conduit certains d'entre eux à revenir dans le jeu des discussions avec un état d'esprit constructif, pour faire valoir leurs préoccupations concrètes s'agissant du développement de l'emploi et de la préservation de la ruralité. Un dialogue ouvert s'est instauré, mais il faut cependant ne pas perdre de vue, d'une part, que les échéances envisagées, en 2015 et 2025, sont lointaines, d'autres générations étant en responsabilité à ces moments là, et d'autre part, que l'attitude constructive des maires ne préjuge pas d'un accord de toute la population.
En conclusion, M. Claude Birraux, député, président, s'est félicité de constater que tout à la fois les principes de la loi du 28 juin 2006, et les leçons du passé, étaient désormais bien intégrés, et que la gestion du projet de stockage des déchets de haute activité s'acheminait, comme l'avait souhaité l'Office, vers la mise en place d'une vitrine de la science et de la haute technologie.