a rappelé sa disponibilité permanente pour les débats puis il a indiqué qu'une date devait être prochainement fixée pour un débat parlementaire sur l'Afghanistan. La réforme, à la suite des travaux du comité constitutionnel présidé par Édouard Balladur, pourrait combler cette lacune de nos institutions. En outre, la décision sur l'envoi de troupes supplémentaires n'a pas encore été prise par le Président de la République.
M. Bockel n'a en aucun cas été victime d'une éventuelle pression de la part de Chefs d'Etat africains. Le discours du Président de la République en Afrique du Sud, annonçant la renégociation de tous les accords de défense, confirme sa volonté de revoir en profondeur la politique africaine de la France.