La participation de l'État au capital de compagnies d'assurances et de banques étrangères leur confère un avantage concurrentiel important dans le cadre d'appels d'offres internationaux. Cette distorsion de concurrence commence à gêner les groupes français. La situation étant aujourd'hui stabilisée, les règles du jeu devraient être formalisées entre les États.
L'une des leçons de la crise, c'est que le principe too big to fail est encore valable. Il y a près d'un siècle, des lois anti-trusts ont été adoptées pour répondre aux distorsions de concurrence ; aujourd'hui, la crise a aussi généré des anomalies.
Enfin, selon vous, qu'est-ce qui ne sera plus comme avant ?