Aujourd'hui, votre politique, c'est de supprimer les cours du samedi matin en primaire, sans aucune concertation avec les maires qui devront le plus souvent prendre en charge les élèves. Vous bâclez, là encore sans concertation, de nouveaux programmes, que la plupart des enseignants refusent. Enfin, vous jetez les enseignants à la vindicte populaire, ce qui est scandaleux, avouons-le, en les accusant de manipuler les lycéens qui clament, encore aujourd'hui, leur révolte. (Protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)