Serait-il vraiment raisonnable, serait-ce mon métier d'éducateur et de ministre de l'éducation nationale de dire à la jeunesse qu'il est sans importance de continuer à créer de l'emploi public, de faire de la dette, qu'ils auront à payer plus tard ? Pouvons-nous agir ainsi, si nous sommes responsables ? (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Les lycéens que j'ai rencontrés ont raison de s'inquiéter, mais nous répondons à leur demande.