Le groupe y est prêt, mais à la condition d'avoir des garanties sur la viabilité économique du site. Cela passe par un déblocage de la négociation sur l'organisation du temps de travail qui, jusqu'à présent, a échoué. Au bout de dix-huit mois de négociation, les salariés de l'usine Dunlop ont conclu un accord avec la direction : soumise à référendum, la nouvelle organisation du temps de travail a été acceptée par l'immense majorité des salariés. Toutefois, certains représentants syndicaux de l'usine Goodyear refusent aujourd'hui de négocier et se sont engagés dans des démarches procédurières.