Je vous remercie de le confirmer ; convenez que j'ai été plus explicite que vous, mais je comprends votre timidité. (Sourires.)
Dans notre pays, madame la ministre, le secteur public s'emboîte avec le secteur libéral. Ce système fonctionne cahin-caha, même si l'on peut toujours y apporter des améliorations. Vous avez d'ailleurs indiqué à notre collègue Jean-Luc Préel – qui en a sans doute été profondément ému – qu'il avait raison. Comme c'est légitime, avez-vous poursuivi – je traduis quelque peu votre pensée, madame la ministre – …