Non !
Monsieur le rapporteur, il ne s'agit pas d'une injonction. Vous avez dit en aparté qu'il arrivait que les génériques soient plus chers que les médicaments princeps. C'est pourquoi la rédaction de l'amendement est prudente : « notamment en faveur de l'usage des médicaments génériques, ».
Madame la ministre, je ne demande qu'à vous croire – vous êtes, la plupart du temps, tellement convaincante (Sourires) – si vous m'indiquez le pourcentage de recours au générique, lorsque c'est possible, à l'hôpital public. Je serai prêt, dans un geste de bonne volonté, à retirer l'amendement.