Le Journal officiel en fera foi. Je me réconcilierais avec vous si vous reconnaissiez que votre langue a fourché. Dans ce cas, venez à résipiscence, madame la ministre, nous vous accorderons notre pardon ! (Sourires.) Mais vous avez parlé de désorganisation, et je trouve cela choquant, car ce n'est pas la réalité que nous connaissons dans nos hôpitaux, même s'il peut toujours y avoir une exception qui mérite d'être redressée.