C'est la vocation de l'article 2.
Cela dit, une fois le corps médical marginalisé, il faut composer avec la réalité. De quoi va-t-on donc bien pouvoir le charger ? Une idée surgit : la sécurité et la qualité des soins. Voilà qui est utile, surtout au moment où l'on proclame – pas forcément, d'ailleurs, de façon erronée, mais, en tout cas, de manière maladroite et malintentionnée – qu'il y aurait chaque année plusieurs milliers de morts pour des causes dites « évitables », à l'hôpital. Ce n'est peut-être pas une invention,…