Mais le jour où je n'aurai plus de passion, vous pourrez considérer que je n'ai plus de vie. (Sourires.)
Je crois en tout cas que nous partageons tous l'analyse que la stratégie budgétaire de l'État en ce qui concerne le logement d'urgence nous mène droit dans le mur, si elle n'est pas révisée à la hausse, de même que nous allons droit dans le mur si l'application de la loi DALO n'est pas accompagnée de moyens administratifs suffisants dans les territoires.
Ce constat nous conduit à considérer que chaque fois que nous pouvons grignoter quelques euros – même si, malheureusement, le décalage et la contradiction sont évidents – pour régler immédiatement la situation de quelques centaines, voire quelques milliers d'habitants, sur le territoire, il ne faut pas hésiter. Nous approuvons donc cet amendement.