En premier lieu, ce projet de loi donne toute sa portée au principe de responsabilité qui constitue la condition première du maintien de notre système solidaire. Le Gouvernement s'engage en effet résolument dans la voie de la maîtrise des dépenses sociales, selon une logique d'efficience et non pas simplement comptable.
Dès l'année prochaine, les mesures contenues dans ce texte et dans le plan d'urgence décidé en juillet ramèneront le déficit du régime général à moins de 9 milliards d'euros,…