Il connaît les finances de la CNAM et, lorsqu'il signe un accord, n'est-ce pas en toute connaissance de cause ?
Enfin, quelques mots sur les franchises médicales, dont nous avons déjà beaucoup parlé. Le but qui leur était assigné a varié. Elles ne responsabiliseront pas le patient, puisque, le plafond atteint, il n'y aura plus de frein pour le reste de l'année. Elles ne permettront pas d'économies réelles, puisqu'elles serviront à financer – très partiellement, d'ailleurs – les plans Alzheimer, cancer et soins palliatifs. Mais leur défaut majeur est que les maladies graves – par exemple, le cancer, le sida ou la sclérose en plaques – ne seront pas exonérées.