J'ai personnellement reçu l'un de ceux qui soutiennent cet amendement et j'ai été particulièrement sensible à la qualité de son argumentation. Toutefois, les libéralisations engagées à l'étranger dans le domaine des pièces de rechange – uniquement dans des pays où n'étaient pas implantés de constructeurs automobiles – n'ont pas permis la baisse des tarifs pratiqués ni le maintien de la qualité des produits. En outre, s'il est parfois utile de stimuler la concurrence, il importe également de soutenir le rayonnement de nos constructeurs automobiles. Pour toutes ces raisons, la commission a repoussé ces amendements.