Que n'avez-vous alors réglé le problème ? Votre majorité était aux affaires, et vous faisiez vous-même partie du Gouvernement, madame Lebranchu ! Il faut être prudent : les boomerangs reviennent souvent dans la figure de ceux qui les envoient ! (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Si nous approuvons votre texte, monsieur le secrétaire d'État, c'est parce que, s'agissant des relations commerciales, il fallait prendre des décisions. Je veux rappeler que les mesures prises par Nicolas Sarkozy lorsqu'il était à Bercy – vous étiez alors, monsieur le secrétaire d'État, président de la mission d'information sur les relations commerciales que j'avais lancée – ont fait baisser les prix des grandes marques de 3,5 %. On ne peut pas faire semblant, monsieur Gaubert, d'ignorer les conséquences indéniables de ces mesures sur les prix.