Vous avez parlé, monsieur Lecoq, de décolonisation, de mépris des Kanaks, comme s'il n'existait qu'un seul peuple sur cet archipel. M. de Rugy a évoqué, quant à lui, des « coups tordus ». Allons, allons, restons calmes et tournons-nous vers l'avenir sans oublier cependant ce qui s'est passé.