Au lieu de les laisser circuler, nous implanterons ces itinérants dans des équipes pédagogiques du premier degré là où nous avons identifié de tels besoins. Il s'agit d'une excellente mesure, d'une mesure utile !
Je le répète, nous ne supprimons pas pour autant, pour plus des deux tiers d'entre eux, le principe d'itinérance, nécessaire dans les zones où les élèves en très grande difficulté sont moins nombreux, et où il faut venir de manière ponctuelle les soutenir, faire un examen ou évaluer la situation particulière qui explique un échec scolaire.
Ce débat prend donc des proportions sans commune mesure avec la portée quantitative de la réforme et avec la réalité objective, celle de la lutte que nous menons contre l'échec scolaire.