J'ai déjà répondu à cette question tout à l'heure. Cependant, je répète qu'il ne s'agit pas de supprimer des emplois, mais de transférer devant des classes, dans des écoles où les difficultés scolaires créent des besoins massifs, moins d'un tiers des quelque 11 000 personnels appartenant à ces réseaux. Il s'agit de maîtres G, et non des psychologues scolaires, dont nous avons grandement besoin et qui ne sont pas concernés par cette affaire. Naturellement, pour les situations médicales ou psychologiques les plus difficiles, les itinérants resteront mobilisés. Il ne faut donc pas dire que nous supprimons des emplois : nous les utilisons différemment.