Monsieur le ministre, la question de l'encadrement dans les collèges se pose avec la réduction des effectifs des surveillants. J'aimerais savoir de combien de ces personnels disposent les différentes académies et comment ils y sont répartis.
Mon département souffre de la réduction de cet encadrement, ce qui favorise le développement d'une forme de violence scolaire au quotidien : agitation, détériorations, bagarres, parfois graves, qui tendent à se banaliser. Cette situation préoccupe les familles, les enseignants et les chefs d'établissement, qui revendiquent à juste titre un meilleur encadrement. Comment abordez-vous ce problème de la violence scolaire, qui est l'un des grands soucis dans nos établissements ?