Les choses sont donc claires : l'investissement est la première priorité, et le fonctionnement est la deuxième, la progression de l'ensemble ne devant pas dépasser les 2 %.
Nous sommes dans un monde où l'argent public est rare. Mais il n'est pas rare uniquement pour l'État. Il est rare pour tout le monde. C'est le même contribuable qui va payer, ici son impôt sur le revenu, là sa taxe foncière.