Le taux d'inflation étant donc de 2,9 % alors que les prévisions le situaient à 1,6 %, on ne révise pas pour autant les dépenses prévues dans le PLF, ce qui implique un effort supplémentaire de contraction, en tout cas de maîtrise de la dépense. En revanche, on révise des dépenses inéluctables comme la charge des intérêts de la dette, qui elle-même prend de plein fouet les dépenses d'inflation.
Une réponse opérationnelle est donc bien apportée par le projet de loi de programmation par le paragraphe n° 394.