Grâce à une meilleure prise en charge des affections de longue durée, les organismes complémentaires se sont constitué des marges de manoeuvre. Il est donc tout à fait normal que celles-ci soient, pour une petite part, reversées à l'assurance maladie. La Mutualité française a pris l'engagement de ne pas augmenter les cotisations des assurés.