Monsieur le président, je vois bien que nos collègues de l'UMP s'émeuvent de ce que je viens de rappeler. Il y a toujours eu deux France : celle de la Révolution et celle de Coblence, celle de la solidarité et celle des privilèges. Avec notre amendement, nous vous proposons de faire un petit pas vers la solidarité en sacrifiant un peu de privilèges.