Certes, mais le spirituel peut donner de l'épaisseur au temps ! (Sourires.)
Je poursuis : la Belgique a un taux d'endettement de 95,7 % du PIB, l'Italie de 106,5 % et je pourrais citer d'autres exemples.
Nous reparlerons certainement du déficit budgétaire et par exemple de celui des États-Unis, beaucoup plus important que le nôtre en proportion. Reste qu'un déficit, c'est comme la dette, tout dépend de ce qu'on en fait. S'en sert-on comme d'un levier pour le développement ou bien n'est-il que la conséquence de politiques désastreuses comme la vôtre ?