Ce qui est en cause, c'est de savoir si nous souhaitons accompagner l'effort d'accession d'un certain nombre de nos concitoyens, si nous souhaitons également soutenir l'effort de construction et le marché immobilier, lui-même créateur de croissance. Nous avons là un double objectif avec, d'une part, le soutien au pouvoir d'achat de nos concitoyens accédant à la propriété et, d'autre part, le soutien à une activité économique non délocalisable et, comme chacun le sait, créatrice d'emplois.
Il n'y a donc aucune raison d'adopter cet amendement. Je trouve d'ailleurs un peu stupéfiant que ceux-là mêmes qui ont été à l'origine de la suppression de la mesure par le Conseil constitutionnel viennent aujourd'hui expliquer que les promesses ne sont pas tenues.