L'article 7 a déjà une longue histoire, qui justifie que, comme M. de Rugy, on se pose quelques questions à son sujet. Le fait est qu'il s'est réduit comme une peau de chagrin, ce dont, d'ailleurs, nous ne nous plaignons pas, car les finances publiques s'en trouveront probablement épargnées.
Pendant la campagne présidentielle, on nous a promis que tous les intérêts de tous les prêts en cours donneraient lieu à un abattement fiscal.