C'est une dette considérable que devront acquitter, si elle s'aggrave, des générations qui ne sont pas encore en âge de produire, et même ne sont pas encore nées.
C'est parce que nous craignons que l'évolution des cinq dernières années ne se poursuive – puisque le Parlement a voté cet été 15 milliards d'euros de dépenses non gagées – que nous aimerions réexaminer le texte en commission.