Vous avez parlé de la fraude sociale. Je ne vous ai pas entendu annoncer un renforcement des moyens des URSSAF, par exemple.
Lorsque Nicolas Sarkozy était assis à votre place – je ne l'invoque pas, je fais référence à ce qu'il a dit et fait lorsqu'il était ici – je lui avais demandé : puisque vous voulez lutter contre les voleurs, pourquoi, monsieur le ministre, ne faites-vous rien contre la mafia russe qui sévit dans le sud-est de la France ? Je vous repose la question d'ailleurs. Pourquoi ne fait-on toujours rien pour remédier à cette situation que connaissent bien nos collègues des Alpes Maritimes ?