Joseph, le mari de Marie, c'est une belle référence ! (Sourires.) Mais je ne suis pas sûr, monsieur le président, que les collègues qui m'empêchent de parler connaissent suffisamment les textes sacrés pour en faire une exégèse pertinente.
Pour en revenir au sujet, monsieur le ministre, vous énumérez les clichés, vous les récitez sans cesse, vous nous les resservez à peine tièdes. Il faut revenir à la réalité. Tout à l'heure, vous m'avez reproché de faire deux tas : d'un côté les privilégiés dont vous êtes l'avocat, de l'autre les victimes que nous défendons.