L'État est donc tout à fait correct. Cela fait des années que le contrat n'a pas été revu ; nous appelons à sa révision, dans une logique de transparence ; nous limitons sa progression à l'inflation. Il n'y a rien qui me semble choquant et qui puisse provoquer quelque drame que ce soit dans une collectivité locale.
En ce qui concerne les effectifs, j'ai trouvé votre raisonnement assez stupéfiant : si je vous ai bien compris, les pays en développement recherchent, pour asseoir leur croissance, un service public fort. À vous suivre, comme nous sommes les champions du monde de la dépense publique, nous devrions être le numéro un de la croissance mondiale !