Les élections sont une chose, certes, mais les données chiffrées, publiées dans des documents que tout le monde peut consulter, en sont une autre. On ne peut donc pas, monsieur le ministre, monsieur le rapporteur général, tenir les propos que vous avez tenus dans notre débat. La situation des finances publiques est profondément dégradée et je crains que le quinquennat qui s'ouvre ne reproduise la même stratégie.
Votre politique ne répond à aucun des problèmes de l'économie française. Elle ne répond en effet ni à l'insuffisance des créations d'emplois – votre projet de loi de finances ne prévoit quasiment rien pour l'emploi et le TEPA ne prévoyait rien du tout à cet égard…