On ne peut pas appeler à faire plus d'efforts, à travailler plus, à réformer les administrations, et laisser la fraude perdurer. L'État n'y a probablement pas consacré assez de moyens. Nous avons voulu centraliser la décision en créant une délégation interministérielle ayant compétence sur la fraude sociale et sur la fraude fiscale, sur les prélèvements comme sur les prestations. J'imagine qu'un consensus pourra être trouvé sur ce sujet.