Il a analysé en profondeur la crise mondiale – par conséquent la crise française – comme une crise massive de la demande. Pour répondre à une crise massive de la demande, une stimulation massive de la demande s'impose, en France comme ailleurs.
Le rapporteur général a ressorti un discours enflammé sur 1981. Nous sommes quelques-uns – Patrick Devedjian notamment, ou Henri Emmanuelli qui exerçait des responsabilités – à nous souvenir de cette période. Ce qui a été réalisé en 1981 était nécessaire.