Il faut vraiment que l'on croise les doigts et qu'on obtienne une baisse très rapide de l'inflation et des taux d'intérêt. Sinon, nous n'arriverons pas à tenir.
Si nous ne voulons pas que cette dette qui pèse sur nous ait un effet boule-de-neige, il faudra revenir le plus rapidement possible à des déficits compatibles. Avec une croissance à 2 %, pour que la dette soit simplement stabilisée, je ne pense même à une diminution – elle sera en fin d'année, malheureusement, autour de 69 %, 70 % du PIB –,…