Je commencerai mon intervention par quelques rappels.
En juillet 2007, alors que les effets de la crise immobilière et financière aux États-Unis commençaient à peine à se faire sentir en Europe, la majorité adoptait un plan de soutien à l'économie qui porte aujourd'hui ses fruits. J'en veux pour preuve trois exemples.
Premièrement, les fonds propres des PME bénéficient aujourd'hui de 1 milliard d'euros supplémentaires, alors que le crédit se fait rare, grâce à une mesure ISF qu'ont refusée, uniquement par idéologie, nos collègues de l'opposition.