La vérité, c'est que même selon les prévisions de l'INSEE, la consommation et le pouvoir d'achat augmenteront en 2009. Ce sont les perspectives d'investissement qui sont très dégradées. Nous ne voulons pas de plan de relance à l'ancienne – ce que souhaite probablement Martine Aubry –, où l'on crée des dépenses pérennes qui pèsent sur les générations futures, dépenses qui survivent toujours à la crise et qui tirent notre pays vers le bas.