Je me permets quand même, monsieur le président, de vous rappeler l'exemple de notre ancien collègue Georges Hage, dont les citations latines – faites avec quel brio ! – n'ont jamais été censurées.
Mais je consacrerai, si vous le voulez bien, d'autres rappels au règlement à cette affaire jusqu'à ce que j'obtienne une explication cohérente.