Pour ma part, je ne vois pas de difficulté à avoir une politique étrangère influente et active. (« Comme au Liban ? » sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.) Si elle ne l'était pas au début de ce quinquennat, quand le serait-elle ?
Que cette politique soit également active sur le plan économique, au profit des emplois et de l'activité des entreprises françaises, il n'y a rien là de contradictoire. C'est ce que font toutes les grandes diplomaties du monde.