Je vous remercie, monsieur le président, de m'autoriser à m'exprimer à cette tribune, bien qu'étant non inscrit et un peu en retard.
Compte tenu de la conjoncture actuelle, monsieur le ministre, vous êtes sans doute le meilleur à votre poste : vous êtes paysan, montagnard, et, par chance pour notre pays, vous êtes aimé en Europe. Qui plus est, votre cabinet est sympathique et répond volontiers aux questions qu'on lui pose.