Affairisme, donc, et mise à la botte du service public.
Et l'éditorialiste conclut, à propos des chaînes publiques : « La désignation de leurs patrons est tout sauf un modèle de transparence. Ce n'est pas une raison pour leur casser les reins, les tenir en laisse courte et en faire des médias d'État. Leur rôle est trop important – informer, instruire, divertir les Français – pour en laisser la maîtrise à un seul homme, fût-il Président de la République. »