Et je suis mesuré lorsque je parle de « godillots » (Mêmes mouvements) car accepter qu'un Président de la République fasse légiférer pour pouvoir nommer et révoquer selon son bon plaisir les présidents des sociétés de l'audiovisuel public est une régression, un déni démocratique et une insulte au peuple français. C'est une manière honteuse de le traiter, comme si les Français n'avaient droit qu'à un service public au rabais et à de la télé Sarko ! Les Français méritent mieux que cela ! Ils méritent un service public qui contribue à les instruire, à les informer, à élargir le champ de leurs connaissances. C'est cela un service public digne de ce nom, en aucun cas un service public à la botte et sous-financé qui permet à des sociétés privées de se goinfrer du gâteau – qui est aussi un cadeau – publicitaire !
François Loncle a cité un article du magazine Télérama, qui s'intéresse à l'audiovisuel depuis fort longtemps.